LA LECTURE ORNEMENTALE MENE AU RAPPORT SENSUEL A LA CULTURE - Image ci-dessus : à gauche l'amont de l'ignorance, plus au centre l'aqueduc du doute, et par la droite l'aval de la connais-sance De n'ombreuses pages à consulter, en cliquant sur les différents titres des pages ci-dessous :
Vous ouvrez ici le blog le plus passionnant sur lequel il vous sera donné de sur-fer, cependant qu'il vous faudra secouer vos méninges et ouvrir l'orée de votre espriT comme jamais d'eXcès de zèLe vous ne l'avez encore fait CAr vous allez vous heurTer DOrénavant à des Mystères anCestraux, à L'une ou l'aUTre de ces coïncidences surprenantes et signifiantes ou synchronicités eXtraordinaires, et vous serez alors sur la bonne voie culturelle à l'essentiel de la connaissance structurale de l'occis-dent et donc inTrinsèquement de Vous-Même, et tant qu'A lâcher prise au lieu se s'évertuer d'insistance normative tout deviendra de-main à vous seoir aussi poétique qu'un conte fantastique...

Lyre, Aigle, Cygne et K du C au triangle d'éTé

TEXTE SUIVRA...

CI-DESSOUS : Annexes et Archives de la page...


1°) Constellations en croix au nombre de trois (en quatre allant ?), le Cygne, les Gémeaux et l'Aigle :

Constellation du Cygne,
la tête du cygne se situe en bas
(Bec en bas : Albiréo, et Q en haut : Deneb)

Fleur d'iris des marais, démarée
à l'eau d'hissée fleur d'Ulysse ?

Constellation de l'Aigle
(que pointera en-dessous la queue du
Scorpion, aigle déchu)
(Bec en haut : Altaïr)

MONTJOIE SAINT-DENIS
Armoiries des Bourbons, rois
de France et de Navarre
Constellation des Gémeaux, deux croix se donnant la main (ou le bras)
posées pour l'une (à droite) sur un triangle et pour l'autre (plus à gauche)
sur un trapèze, tandis que le prolongement de la diagonale d'Orion
tendrait à les séparer. Ils semblent siamois et vers l'autre coté de la voie lactée
 il est à considérer que ce sont eux (les Dioscures) que l'on retrouverait 
tête-bêche en Deneb et AlTaïr, respectivement du Cygne et de l'Aigle...
CAstor et POllux voient leur sec.onde lettre figurer en X deux par deux
dans le carré SATOR...
Un joug ressemblerait comme deux gouttes d'eau à des arcades sourcilières
(source hier ?) mais la Joconde n'a pas de sourcils...
"Les bœufs tiraient à hue et à dia en même temps, 
maltraitant le joug comme s’ils voulaient le casser"

Le LAC des CYGNES où des signes dessinent le dense design..
"DOMUS MEA DOMUS ORATIONIS VOCABITUR" & "HIC DOMUS DEI EST ET PORTA COELI" (RLC)
Le triangle d'été : Deneb pond la queue du cygne (Albireo étant le bec), Altair (ou al-nasr al-taïr) la tête de l'aigle, et Véga (branche de la lyre) de sixième des douze travaux d'Hercule (en oiseaux du lac Stymphale...use ?), guère de trois étoiles...
TENET CONFIDENTIAM...(FIDELITAS ?), Joconde Poussi-N-ière : c'est là B(l)ague audois(e) et à l'œil qui toise ?
Poussin, autoportrait, dessin issu d'un cui-cuit ou d'un piou-piou ?
(Aune au mât topé)
à suivre...  Pour le gag ? : Campoussy, pas très loin d'Ansignan.
(Milou-Minou ?)
"Effigies Nicolai Poussini Andelyensis Pictoris. Anno Aetatis 56. Romae Anno jubilei 1650".
 TENET CONFIDENTIAM...
http://www.youtube.com/watch?v=pyOYqS1RqHs

Le triomphe de Galatée, Villa Farnesina à Rome
 
 
Le triomphe de Galatée est une fresque de petite taille (2,25 x 2,95 m), proportionnellement aux dimensions habituelles des fresques classiques. Elle fut commandée à Raphaël en 1511, par le banquier Augustin Chigi, pour sa villa des bords du Tibre, aujourd'hui appelée la Farnésine. L'œuvre fut achevée vers 1514. Il s'agit du premier sujet mythologique traité par le peintre depuis Les Trois Grâces de 1501-1504.
 
LE MYTHE
 
Dans la mythologie grecque, Galatée est la fille de Nérée et de Doris. Elle vit au large de la Sicile, où le cyclope Polyphème (fils de Poséidon et de la nymphe Thoosa) fait paître ses moutons et ses chèvres. Ce dernier tombe amoureux d'elle et la poursuit. Mais Galatée, qui lui préfère le jeune berger Acis, repousse les avances du géant, ayant en horreur son corps monstrueux. Le jeune couple arrogant se moque des démonstrations grotesques de Polyphème et provoque sa jalousie. Pour se venger, il ramasse un énorme rocher et écrase le jeune berger. Galatée, le cœur brisé, fait jaillir une source sous le rocher et fait d'Acis le dieu du cours d'eau.
Dans une autre version, Acis n'existe pas et Polyphème fini par gagner le cœur de Galatée en chantant et en jouant de la flûte.
La scène représentée dans cette fresque est relatée dans un poème du Florentin Ange Politien. Raphaël a choisi l'épisode où Galatée, dans une conque tirée par deux dauphins, vogue sur les eaux, se riant des chants malhabiles du cyclope qui tente de la séduire.
 
 
DESCRIPTION
 
La fresque est divisée en quatre parties égales par un axe vertical marqué par le personnage de Galatée, et par un axe horizontal qui correspond à la ligne de l'horizon. Ces deux axes se coupent au centre exact du tableau. On voit que dans cette double symétrie :
- la surface du ciel est égale à celle de l'eau.
- la partie située à gauche du personnage central de Galatée est équivalente à celle de droite.
 
Le personnage qui souffle dans le coquillage à gauche de l'image et celui de droite qui joue de la trompette se font écho, ainsi que les deux couples marins et les deux Amours qui sont de part et d'autre de Galatée. De même, le troisième Amour placé au dessus d'elle rappelle celui du bas.
 
Le format vertical et rectangulaire de la fresque insiste sur ce dernier parallèle entre le haut et le bas, tiraillement dont la notion sera développée ensuite.
Autour de ces deux perpendiculaires, le peintre a habilement placé les personnages, suivant la forme d'un losange, dont Galatée et l'horizon forment les diagonales.
Cette composition donne à la fois une sensation d'équilibre et de mouvement, puisque l'on a en même temps des symétries et des diagonales dont les directions s'opposent. On retrouve ce type de construction dans la Résurrection, de 1501, puis, plus tard, dans la Madone Sixtine vers 1514.
 
Les postures des personnages sont très naturelles et en même temps, construisent l'image. En effet, ce n'est pas tant l'emplacement des personnages dans l'image qui compose le losange, mais principalement l'attitude des corps, la direction des membres.
 
Mais cette volonté de montrer l'éclatement depuis le centre de la fresque est principalement mise en valeur par le visage de Galatée qui lève les yeux au ciel vers la gauche. Elle regarde en arrière, endroit d'où doit venir la mélodie chantée par Polyphème. La représentation du géant aurait dû se situer sur le mur de gauche. L'Amour, caché derrière son nuage avec ses flèches, seul personnage qui ne trouve pas son écho dans la composition invite notre regard à aller dans sa direction, et à sortir de la fresque. Cette ligne ascendante est aussi renforcée par le visage de l'Amour du bas, qui regarde dans la même direction que Galatée.
 
Ici Raphaël a modelé les corps en fonction de sa composition. Ce sont eux qui créent la structure de l'image. Il ne part pas d'une figure observée pour composer autour mais au contraire, il construit d'abord la structure pour ensuite y intégrer les différents éléments.
Les attitudes ont une grande dynamique qui reste cependant naturelle et aisée. Chaque mouvement a un contre mouvement. On ressent, dans ses figures, la très nette influence de Michel-Ange.
 
 
COULEUR ET LUMIÈRE
 
Dans cette image, les contrastes forts ne se situent pas au niveau des valeurs. Les passages de l'ombre à la lumière se font de manière très subtile. Les zones sombres ne sont pas brutalement plaquées mais sont amenées par de doux camaïeux. L'image est assez claire, toute la surface de la fresque a à peu près la même valeur, mis à part les deux dauphins, qui marquent une zone sombre.
 
La suite divine qui entoure Galatée de haut en bas, de droite et de gauche, l'entoure aussi d'avant en arrière : on a dans un premier plan l'Amour posé sur l'eau, ensuite le premier couple, puis, derrière le personnage central, on voit les deux musiciens et le second couple.
 
Ainsi, Galatée se trouve au centre de l'image, dans sa hauteur, dans sa largeur et dans sa profondeur. Sa pose résume en quelque sorte la totalité de la composition. Elle traduit la dynamique d'avancée qui s'oppose à celle du drapé qui la tire vers l'arrière, le mouvement contradictoire de ses bras tendus vers la droite, alors que le tissu flotte sur la gauche, les dauphins qui la traînent vers le bas, quand son regard se perd dans le ciel. Le peintre attache aussi une attention toute particulière à l'expression profondément humaine de la divinité. La douceur du visage et du rendu de la peau ne peut que rappeler l'admiration qu'a le peintre pour Léonard de Vinci.
Toute l'émotivité et la dynamique de la fresque sont traduites dans ce seul personnage. Galatée, tiraillée entre la mélodie du géant et son univers marin, prête une oreille rêveuse à cette musique. Elle se laisse entraîner par les dauphins à l'air cruel loin de celle-ci.
 
 
(Extrait de Wikipedia : résumé de l’analyse d’Élodie Aliadière)

à suivre...