
Rênes LeXaTo, en 5 & 6 lettres, et le féminin sacré au treize OR ?
REDDIS / REGIS = 6 & 5 = CELLIS / ARCIS (Blanchefort)
8 de Mercure x 7 de Vénus = 56, inverse miroir de 65
- 56 Aubrey holes at Stonehenge -

des diagonales formées
par les signes fiXes des
4 saisons, et aux 3 phases
du quart de rond zodiacal :
Création, Action, Réaction.
A placer Seix au centre de son tableau "Et in arcadia ego" sans que ça puisse faire jazzer jaunasse aux pommes bleues du blues ?
♪ ♪ ♫♪ ♫ ...
Le Serpentaire 13° signe du zodiaque (au centre du cercle), cycle de la vie comme de l'avis décontracté et de lavis contrasté (img à droite), où J&N = 1&1 = Les Gémeaux, légers mots ou maux ? .
L'église de Rennes-le-Château est un régal pour les astrologues.

punaise d'eau et d'air (O-R),
ne pas écarter l'épate
hyperbolique,
ni le bug à l'arrache
d'un trapèze isocèle
issu du carré de Mercure.

"labii reatum",
qu'en lab(r)ys fut vœu nu ?
1°) Instauration du SerPentaire au centre du zodiaque comme au centre du linteau, serpentaire cycle de Vie comme indiqué à droite du porche sur la façade, façon calendrier lunaire ou permaculture(Vie impliquant nécessairement sexe, sexualité, génitalité, explicité ici à RLC), serpentaire le 13° signe également sur la fresque qui n'est pas représenté par un personnage mais par un baluchon de type "lemniscate" représentant un potentiel de création.
2°) Valorisation des diagonales comme avec les trois derniers personnages de ce même linteau, pour les deux axes, chacun pour un cycle lunaire hors celui synodique.
3°) Omniprésence saturnienne (nombre 15) (1° personnage à gauche sur le linteau).
Quand l'Abbé Saunière à RENNES-LE-CHÂTEAU (alias Rênes Lexato, Rênes Lex-Tao) présente le zodiaque à treize signes sous forme d'une fresQue : Le zodiaque de la fresque à RLC : Point Vernal en Bélier et Régulus (la règle, les règles) en béquille du Lion, Balance : li-bra, les bras, remarquer sous le bras gauche du Bélier l'idée du transfert de l'ère des Poissons vers celle du Verseau par une sorte de flèche ou de K in-ver-sé (de vernal ?) sous le manteau. Noter aussi le Scorpion en pied de mât d'une patte d'oie (façon porte-éten-dard !) formée par le Cancer, les Gémeaux et le Taureau, tous les quatre représentés par de jeunes personnages. Les personnages du bas (avec la béquille du Lion) sont similaires à la disposition des signes sur la fameuse tapisserie de la Dame à la Licorne (voir page sur ce blog). Le personnage en haut à gauche semble faire allusion avec son bras gauche à une coudée, définie d'arithm-étique sur une autre page de ce blog. La patte d'oie renvoie au cryptogramme Sot Pecheur "...à l'embouchure du Rhône...".

Saunière est ass-ez explicite à Dia sur la fresQue quant à la dimension sacrée du "ça crée" éther-haut version cor-in-thien, avec des BinocleS :
Le tout sous une voûte rose et bleue soulignant la pertinence de relation d'opposition différentielle dans la sexualité éther haut et entourant de croisements (!) le potentiel de conception-création de couleur beige de chair. Noter le personnage, un villageois (vit la joie) près d'un village en ruines (!). Corps un tient (de l'union) pour le chapiteau corinthien qui b(i)aise (sous un bandeau adéquat).
A dia, à droite et adroite diagonale :
La partie droite de la fresque est située au-dessus des stations VI (6 : six, sexe et moitié du sigle du Tao) et la VII (7 jours dans une semaine : sème aine et s'aiment aines)
Sous la partie gauche de la fresque les stations VIII (8 comme deux gamètes à l'idée de fécondation sous la fresque qui eut terrain de montagne au centre) et IX (9 comme n'œuf...à l'occasion). Les 6 et 9 du Tao se retrouvent donc comme un éclaté exalté en extrémités sous la fresque, on retrouve la même disposition à Tréhorenteuc.
Deux extrèmes : 6 & 9, 6x9 = 54 avec un appel isiaque et au centre 7 & 8, 7x8 = 56, inverse miroir de 65 (à 64+1), outre que 6+9 = 15 et 7+8 = 15. Le bas-relief sous l'autel :


du personnage, diagonale en-visagée
vers ou over programme los-ange
(en gris...hungry ? Faim, femme ?)
I
II
III
IV
V
VI
VII
VIII
IX
X
XI
XII
XIII
XIV
XV
XVI
XVII
XVIII
XIX
XX
XXI
XXII
Marri Mât de l'aine avec les 2 "M" (à gauche sur le bas-relief) de Mars et Mercure, voir page sur les carrés planétaires et les diagonales, où la constante de Mars (65) est aussi le produit (graalesque ?) de 5 par 13, qui est le rectangulaire de Fibonacci au carré de Mer-cure et où 5 est également la case centrale du carré de Saturne mais aussi à 5= 4&1 la case centrale du carré de la Lune, et 13 le nombre de cycles au lunaire et féminin dans l'année (13x28) tout en étant aussi la case centrale du carré de Mars.
grisée allée centrale au sol :
aigle à damier (dame y est ?)
Le bas-relief ci-dessus à gauche est celui de l'autel (Ara en latin) à Rennes-le-Château, Ara comme cette basilique à Rome : Santa Maria in Aracoeli sur le Capitole, une colline où sont célébrés les Gémeaux (les dioscures au mas-cul-in, et la louve au fé-min-in ?), rien à voir avec l'Ara, un oiseau éponyme ? Ni avec l'Ara-gon ? (gon : le 1/100° du quart de cercle -utilisé dans la spirale de Fibonacci-).
Qu'à trois arra-ngements ça risquerait d'agacer Agamemnon, là où N.Poussin serait plus laconique du losange qu'à titrer poussyvement de la chronique des anges à vou-voyer contre un Tu requis au vert d'Ut en ruse éphémère d'Ankh-ara chez l'hébergé d'arc à diagonale... Ou quand il fau(x) avoir la ligne ?

ce Trou VA Fo(u)r Dés pour vue
qu'en Lab(r)ys fut voeu Nu...
JOURNAL L'INDEPENDANT :
(Légendes d'Oc)