Pour trouver le cas du C de Mercure, demander Pollux et Hélène en PHarmaSi(e) :
PH-arm-à Si, PH-arme à-Si, ou PH-arma Si :
P de Pollux
H de Hélène
Arme : H-ache ou i
Si de Sancte Johannes et de HIStoire
ère m-aid d'alchimie qui L'aid-a en quatre à l'An (en 2+2 et 2x2)
L'As(s) y gale, hé là fou remis (ou rebis?) :
L'As(s) y gale, ayant sHunté tout l'éTé (et tous les "T")...
L'éTé, l'"i" vair, marqué par des solstices au départ de ces deux saisons, le "i" du solstice d'hiver en haut, le T du solstice d'éTé en bas (lemniscate, la boucle plus grande en haut que celle en bas - méridienne) le T mi-s en deux (i tombe sur T) forme un M ou deux aiLes, celles de l'Aigle de Saint-Jean.
*P de Pollux & H de Hélène, où le T de TENET fendu à la Hache d'Hélène = 2 L de PoLLux, et Poux & cHoux de PecH de BuG-aRa-CH...(2x1 syllabe et 5x2 syllabes, 2 luminaires -D- et 5 planètes -D & R-).
*CH et la possibilité du X, Pollux-Soleil et Hélène-Lune, PoLLux devenant la métaphore de l'Aigle (à deux aiLes, mais aussi à deux têtes ?) dans une "combinaison" d'objections lunaires (Hélène-Séléné) sur la prédominance solaire et saisonnière initialement instaurée à 52 semaines de 7 j (x4 = 28 lunaires, comme Pech-4- de-2- Bugarach-8-).
*Aigle de Saint-Jean (Sancte Iohannes) lié au SI des solstices, Saint-Jean d'hiver (i vair ?) et Saint-Jean d'éTé (des "T...de TENET), voir le tétramorphe d'Arles-sur-Tech. L'amature de l'axe des solstices (le manche de la hache à double tranchant, le labrys) est essentiellement lunaire : les 3 axes en interférence, Hélène-Séléné de Troi(s). Cependant que 2/3 ont bien une fonction luni-solaire ou soli-lunaire.
*Le P de Pollux se retrouve à cette place précise d'axes dans le chrisme, le labrys relevant bien évidemment de la géométrie hyperbolique de la fonction solaire (gnomon... osiriaque ?).
* Ainsi on retrouve P & H de Pollux et Hélène, SI des Saint-Jean d'axes des solstices avec cette arma-ture de labrys sacralisée de Soleil et de Lune qu'est le chrisme, avec cette précision que le P de Pollux est aussi le Pied de mât Majeur de la précession. C'est ainsi (assassiné ou en bout de course ?) que l'Aigle de Saint-Jean devient le Scorpion (ce corps pion).
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